J’ai choisi cette fois-ci un sujet léger mais qui nous concerne tous, « Flatulences et autres vents du Sud » est un article consacré à l’émission de gaz intestinaux.
Dans notre culture, il est très impoli de péter ouvertement en public, alors je me suis demandée comment cela se passait ailleurs. J’avais en tête de vous faire connaitre le regard de diverses cultures à travers le monde sur ce point.
Je suis naturopathe, c’est ce qui me permet visiter sans être soupçonnée de curiosité déplacée, ces manifestations qui révèlent chez mes clients de précieuses informations sur l’état de leur santé.
Parlons donc des flatuosités qui font rire et qui font honte à la fois. Sur ce lien, quelques ouvrages sont cités, dont ceux de Rabelais qui a fait généreusement péter Pantagruel au 13ème siècle.
Curieusement, le plus difficile aura été, pour visiter cette notion, de trouver des témoignages, à défaut d’articles scientifiques qui traitent uniquement de la prévalence de ce phénomène dans l’humanité et de la composition chimique des flatulences.
Je croyais que ce serait tâche simple, que j’allais tomber sur des articles provenant de tous les pays du monde, des personnes qui racontent leur quotidien et leurs flatulences. Des articles drôles qui relatent des situations inconfortables, ou des faux-pas culturels, un contenu qui me fasse comprendre le regard que chaque culture a sur ce phénomène.
Mais j’ai constaté que c’était la notion la moins évoquée sur internet. Pas vraiment la moins évoquée en fait, mais lorsqu’ elle l’est, le résultat de la recherche ne cadre pas avec ma quête.
Comment pète-t-on à travers le monde ?
Nous voilà au cœur du problème. Voici les quelques informations que j’ai tirées de ma recherche:
Il semblerait qu’en Chine, les fonctions corporelles soient assez normalisées, « les Chinois considèrent péter comme une chose culturellement acceptable et libèrent naturellement leurs gaz lorsqu’ils sont parmi d’autres personnes ». Il y existerait des personnes très respectées pour leurs compétences dans la détection de maladies selon l’odeur des flatulences de leur patient.
Je tiens cette information d’un blog d’expatriés qui évoquaient des différences culturelles, peut-être que cette information n’est pas correcte ou assez exhaustive.
Au Malawi, flatuler en public semble être en passe d’être un délit mineur passible d’une amende. Je ne suis pas sure de cette information non plus, surtout que le Malawi en ce moment, a d’autres chats à fouetter et que personne là-bas ne s’étend sur cette question. Voici le lien qui ramène à cette information.
En Floride, il est interdit de péter dans un lieu public après 6 h, mais là aussi c’est peut-être une intox puisque en voyant la liste des autres interdictions (sur ce lien), j’ai douté du sérieux de cet cet article (quand j’ai lu le texte sur l’obligation de payer le parking si on enchaine son éléphant à l’horodateur).
Et pour le reste du monde, on dirait qu’un accord tacite s’est fait, car là aussi, très peu en parlent. Impossible de savoir comment est accueilli un vent en Helvétie, en Colombie ou dans les Pays Nordiques.
Bref, aussi sourd et impalpable dans les médias que dans sa volatile structure.
Que faire en cas de ballonnements ?
Si vous souffrez de ballonnements, de gaz intempestifs et d’autres manifestations douloureuses dans votre processus digestif et que vous habitez Toulouse, vous pouvez prendre rendez-vous pour en parler, je peux vous aider à vous sentir mieux.
Ou sinon en visio.
Mon cabinet se trouve dans le quartier de Saint-Cyprien, à 200 mètres du métro Saint-Cyprien-République.
Cet article a été écrit sans recours à l’IA.